Quelques définitions :

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Paléontologie : étude scientifique des fossiles des êtres vivants disparus.

QI : Quotient Intellectuel (inventé par Alfred Binet début 20e)

DER Klassische IQ : Rapport entre l’âge mental et l’âge réel x100 = le QI

Imagerie cérébrale : imagerie médicale qui observe le cerveau.

La neuro efficacité : un cerveau intelligent est un cerveau qui fonctionne moins. En faisant un minimum d’effort.

Myéline : se forme après notre naissance. Protège les fibres nerveuses.

Effet Flynn : augmentation des scores aux tests de QI. Depuis plus de 60 ans nous réussissons mieux les tests.

Cellules gliales : fabriquent la myéline, nourrissent et protègent les neurones.

Astrocytes : contrôle les synapses, le flux sanguin dans le cerveau, nourrissent les neurones, réagissent aux blessures, contrôlent les neurones et favorisent la mémoire et l’apprentissage.

 

Mesurer l’intelligence

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Il est très compliqué de mesurer l’intelligence. Il n’existe pas d’outil précis pour l’évaluer. Néanmoins, plusieurs éléments sont tout de mêmes observables. Plusieurs scientifiques, spécialistes, chercheurs, psychologues… se sont penchés sur les spécificités observables de l’intelligence. 

Mesurer la vitesse à laquelle le cerveau réagit. Selon le professeur en psychologie Jan la Nijnhuis, nous sommes moins intelligents qu’au 19e siècle, car notre temps de réactivité est moins rapide. Notre intelligence décline donc avec le temps.

Selon des études, la taille du cerveau fait l’intelligence. Lorsque l’on compare le cerveau humain avec celui des animaux, cela confirme cette observation. Les animaux les plus intelligents ont un cerveau qui se rapproche de celui de l’homme comme les grands singes ou les dauphins.

 

Le QI

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Alfred Binet, pédagogue et psychologue, précise qu’il faut se baser sur des critères pour pouvoir évaluer l’intelligence. Il a donc décidé d’évaluer à partir de raisonnements, de la compréhension et de la mémoire en fonction de l’âge de la personne. C’est ainsi que l’on va parler du quotient intellectuel (QI). C’est le rapport entre l’âge mental déterminé par des tests, et l’âge réel, tout cela multiplié par 100.

Il va ensuite comparer le QI de la personne à ceux des individus du même âge, et ainsi situer son intelligence.

Le QI varie par rapport à l’environnement, l’alimentation… il ne définit pas notre intelligence car celle-ci est comme un muscle que l’on entraine. 

 

Le cerveau

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Après ces tests, on décide de ne plus mesurer ce que l’intelligence produit, mais plutôt ce qui produit l’intelligence. Entre autres, le cerveau. 

Des spécialistes ont observé qu’il n’y a pas un endroit précis dans le cortex cérébral pour l’intelligence. Lors de la réalisation de tests, la partie avant et la partie arrière du cerveau sont en importante communication. 

Plus les parties du cerveau s’activent lors d’activités, moins le résultat est bon. (Ex : conduite d'une voiture au début, rien n’est mécanique, on doit penser à tout. Après 1 an, ce sont des réflexes, on n’y pense même plus). « Les hauts niveaux d’intelligence sont liés à une transmission plus efficace entre les zones du cerveau. »

 

Comment les zones du cerveau communiquent-elles entre elles ?

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Dans le cerveau, nous avons la matière grise (où se trouvent les neurones) et la matière blanche (axones qui connectent les neurones, entourés de myéline). La myéline sert à la bonne circulation de l’information dans notre cerveau. Malheureusement, à cause de l’importante pollution d’aujourd’hui », la production de la myéline est perturbée, car les produits chimiques comme les pesticides perturbent le fonctionnement de l’hormone thyroïdienne.